Témoignages
Nous avons le plaisir de vous partager quelques témoignages de nos chers passionnés, fiers de l’assemblage de leur propre garde-temps. Ils partagent avec vous leur remarquable expérience.
David D.
Chef d’entreprise
” Je ne suis pas particulièrement bricoleur ni méticuleux, […]. Mes craintes ont été vite dissipées, tant le manuel est clair et l’assemblage sans difficulté particulière. ”
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Fabrice M.
Retraité
” J’ai toujours désiré être capable d’autonomie. Toutefois, […] je suis victime d’un problème neurologique qui m’a fait perdre 50% de ma motricité de mon côté droit alors que j’étais droitier. Aujourd’hui, je suis pratiquement devenu gaucher. ”
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Éric D.
Professeur de microtechnique
” Pouvoir entendre la résonance du tic-tac sur l’établi en hêtre c’était un moment intéressant. Ce sont des émotions agréables. ”
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Norbert S.
Chef d’entreprise
” Votre approche pédagogique est au top je trouve, aussi bien sur le fond que la forme. C’est un énorme travail de votre côté, bravo ! ”
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“Je ne suis pas particulièrement ni bricoleur ni méticuleux et je n’ai absolument aucune compétence en horlogerie au-delà de savoir remonter ma montre régulièrement. J’appréhendais donc un peu la réception de ma pendulette et ma capacité à l’assembler. Mes craintes ont été vite dissipées, tant le manuel est clair et l’assemblage sans difficulté particulière. L’assemblage demande un peu de dextérité et de concentration, mais aucune capacité spécifique et il s’est en fait rapidement avéré non seulement accessible mais aussi intéressant : je n’avais aucune idée de la manière dont fonctionnait un mécanisme horloger et entre l’assemblage lui-même et les explications très didactiques du manuel, j’ai le sentiment d’avoir réellement appris quelque chose tout en prenant beaucoup de plaisir.
Le moment où on entend pour la première fois le tic-tac de la pendule est un moment très spécial qui valait à lui seul la dizaine d’heures d’assemblage : c’est le moment où l’objet inerte prend vie, où le cœur de la pendule se met à battre, un moment vraiment émouvant.
L’objet final est particulièrement esthétique et agréable à l’œil, et le fait de l’avoir assemblé soi-même crée une relation tout à fait unique à la pendule. Permettre à des profanes de modestement toucher du doigt la beauté de l’art horloger est une initiative brillante, intelligente, sensible, et je suis absolument ravi d’avoir pu en faire l’expérience.“
David D.
“Tout d’abord, un petit rappel du premier contact que j’ai eu avec Maison Alcée. Je voue une grande admiration à la mécanique en générale et la belle mécanique en particulier dans laquelle figure en très bonne place, l’horlogerie. Je reçois la newsletter d’un site dédié qui s’appelle “Montres-de-luxe.com”. C’est un article parlant de la Maison Alcée qui m’a donné envie d’en savoir un peu plus.
J’ai suivi un cursus d’études techniques. Construction mécanique, maintenance industrielle, robotique et production automatisée. J’ai fait une carrière professionnelle au service du public, à la distribution de l’électricité dans Paris chez EDF/Enedis.
J’ai toujours désiré être capable d’autonomie, toujours souhaité être en capacité de pouvoir réaliser des travaux par moi-même, je suis ce qu’on peut appeler, un bricoleur. Toutefois, et c’est bien là toute la résultante de mon hésitation avant de me lancer dans l’aventure de monter seul une pendulette, je suis victime d’un problème neurologique qui m’a fait perdre 50% de ma motricité de mon côté droit alors que j’étais droitier. Aujourd’hui, je suis pratiquement devenu gaucher. L’objet, bien qu’étant joli et à mon goût, surtout en position verticale nécessite une mûre réflexion avant de passer à l’acte d’achat étant donné la crainte que j’avais de ne pas parvenir à réussir l’assemblage de toutes les pièces. J’ai téléphoné, Alcée et moi avons eu une longue conversation rassurante et je me suis lancé, sans regret.
J’ai séquencé la totalité de l’opération de montage en cinq étapes. J’ai d’abord pris en main le livre d’explications, j’ai porté mon attention aux conditions pré-requises avant de débuter l’assemblage.
J’ai ensuite pris deux à trois heures sur les quatre après-midi suivants pour finir le montage. Depuis, j’ai réglé la sonnerie au passage des heures et je procède à des tests pour vérifier la théorie disant qu’un tour de remontage du ressort donne environ deux jours d’autonomie à la pendulette, j’explore l’éventuelle petite dérive de l’heure en fonction de l’énergie résiduelle du ressort… Je prends possession de l’objet, j’apprends à mieux le connaître.
Maintenant, je reprends la lecture du livre pour m’instruire, j’avais laissé de côté les passages des récits historiques et techniques. Bien sûr que certaines opérations ont été un peu difficiles, j’ai dû répéter quelques gestes avant de réussir, trouver quelques combines mais le résultat est là et cela fonctionne. Je n’ai prêté attention aux temps nécessaires indiqués aux séquences que pour décider des moments d’arrêts quotidiens. Je tiens à préciser que le fait d’avoir l’ensemble régulateur déjà monté m’a apporté de la sérénité.
Pour conclure, je dirai simplement que c’est à vous de jouer…“
Fabrice M.
“Je suis enseignant à l’université Franche-Comté. J’enseigne la mécanique et à ce titre, je suis curieux et intéressé par les microtechniques et l’horlogerie depuis quelques années.
J’ai découvert Maison Alcée par mes actualités horlogères. J’ai eu l’occasion d’identifier ce projet original qui m’a tout de suite intéressé parce que je trouve que l’expérience partagée est enrichissante. Il n’y a pas que la technique, il y a en fait surtout de l’humain. Vous présentez une démarche pédagogique, une solution qui est pérenne, qui est fiable. Une pendule qui vieillira bien de toute évidence puisqu’on est sur le savoir-faire historique horloger utilisé depuis des décennies. Les pendules de ce type-là sont réalisées dans le massif jurassien. Vous proposez à l’acquéreur une expérience en plus de celle de posséder l’objet.
J’achetais plus l’expérience que l’objet dans le but de le partager avec mes étudiants. Ce sont des étudiants en formation mécanique qui sont destinés à l’industrie donc on forme de façon transversale aux fondamentaux de l’ingénierie plutôt mécanique et science de la production. Il me semblait intéressant d’apporter quelques compétences d’initiation horlogères à mes étudiants.
Je pratiquais déjà des initiations sur des mouvements de montre mais ils sont tellement petits que les étudiants ont du mal à se les approprier. C’est difficile de partager une expérience sur une montre parce qu’on a une immersion individuelle. Chacun a sa loupe et il n’y a pas la place de mettre deux loupes autour d’un mouvement donc nous devons passer par des caméras, par du numérique et ainsi, nous ne sommes plus dans le réel. Dès que l’occasion s’est présentée, j’ai attaqué l’assemblage et je m’y suis pris en deux fois : une demi matinée et une demi après-midi. Profitez de l’instant pour faire durer un peu le plaisir…
La pose du balancier, c’était l’instant magique ! On attend de voir l’énergie qui évolue du barillet principal vers ce régulateur, vers cet oscillateur. C’est l’instant émotion puisque dès lors que le tic-tac qui s’est fait entendre, j’ai pu savourer le bruit de sa résonance sur l’établi en hêtre. C’est des émotions qui sont agréables. J’ai démarré l’assemblage détendu, calme. Je l’attendais depuis un moment ! J’ai trouvé l’expérience de la loupe intéressante sur des pièces plutôt grandes aussi parce que l’on peut aller chercher dans le détail. Par exemple, quand on vient lubrifier, on amène cette goutte d’huile avec le pique huile. C’est extrêmement intéressant de prendre le temps, de la regarder partir dans le ménisque, chose qu’on voit moins sur une montre.
Je recommanderai cette expérience à quiconque aime se retrouver dans sa bulle, comme coupé du monde. Ça permet de découvrir vraiment l’horlogerie, de mettre un pied dans cet univers et de comprendre ce qui se passe dans les mouvements de montre mais à échelle beaucoup plus grande. Cela permet de s’approprier les efforts. Par exemple, quand vous remontez une petite couronne de montre du bout des doigts avec un petit ressort de barillet, le ressenti n’est pas le même que lorsque vous prenez cette clé. Les phénomènes sont mieux compris. Il y a de l’énergie et on sait d’où elle vient. S’initier à la compréhension du fonctionnement d’une montre est passionnant. On parle ici de pendulette de bureau car c’est une pendulette qui a tous les composants d’une montre.
On a la chance de pouvoir vivre cette expérience. Il y a des choses à faire pour partager cette expérience avec un public extrêmement large de 7 à 60, je dirai même 97 ans ! La pendulette va fonctionner maintenant pendant quelques décennies donc merci… et bravo !“
Eric D.
“Après presque douze heures de service, Persée vient de sonner à 7h01, mieux que la Nasa ! Il n’y a aucun dérèglement, donc aucun réglage après 48h ! A la seconde près elle sonne à l’heure parfaitement. Votre approche pédagogique est au top je trouve, aussi bien sur le fond que la forme. C’est un énorme travail de votre côté, bravo !
Encore merci et bravo, c’était vraiment une excellente expérience familiale grâce à vous !“
Norbert S.